Textes, photos, dessins, vidéos, livres… pour entrer dans les écritures du réel telles que la Biennale les déploie depuis sa première édition en 2012.
Les plus belles définitions des Écritures du réel, issues des éditos des cinq Biennales conçues et initiées par le Théâtre La Cité – Espace de récits communs, et partagées avec de nombreux partenaires à Marseille et alentour :
« L’histoire ne s’écrit plus comme si elle avait une fin, elle n’est pas faite de personnages, mais de personnes, je l’écris et elle m’écrit. Elle est mouvement. »
« Dans ce monde devenu incompréhensible, où tout va si vite, nous aspirons à un temps pour de nouvelles conversations, pour des rencontres inédites qui débordent les cadres, diagnostics et expertises en tous genres. »
« De personne à personne, quelque chose circule ici qui nous relie au monde et à nous-mêmes. »
« Elles témoignent d’une volonté, non pas de saisir l’autre en le figeant dans une interprétation, mais de se risquer réellement à sa rencontre. »
« Qu’elles naissent d’expériences vécues, d’enquêtes de terrain, de recherches autobiographiques ou historiques, de vagabondages, ces écritures ont pour ambition d’élargir nos perceptions et d’enrichir nos manières de sentir, de penser, d’agir, d’être ensemble. »
« Partager avec tout un chacun l’écriture de récits d’aujourd’hui. Mettre en présence des mondes qui ne se connaissent pas ou si peu, et chercher ensemble ce qui peut naitre de ces rencontres. »
« En mots, en corps, en musiques, en images, en sons, en silences, quelque chose du réel, de réel, s’écrit. »
« Témoigner de notre monde tout en le dessinant autre. C’est le pari de la Biennale que de tenter de rendre compte de cet élan et ainsi continuer ce très ancien dialogue entre poésie et politique. »
« Voir le monde avec les yeux des autres. »