Le projet Frontières mené par Karine Fourcy est singulier : depuis deux ans, une vingtaine de jeunes gens, à l'orée de l'âge adulte, écrivent et jouent à nommer les barrières qui les enferment.
Agnès Freschel
Le projet Frontières mené par Karine Fourcy est singulier : depuis deux ans, une vingtaine de jeunes gens, à l'orée de l'âge adulte, écrivent et jouent à nommer les barrières qui les enferment.
Agnès Freschel
C'est une belle ouverture sur des territoires tout proches et même un peu plus lointains que nous ont offert, entre autres, trois spectacles proposés par la Biennale des écritures du réel.
Marie-Jo Dho
Ces paroles lointaines renvoient aux combats de femmes d'ici et d'ailleurs, aux nôtres, et à notre capacité d'éprouver ce qu'elles ressentent.
Alice Lay
On peut s'interroger sur l'opportunité pour le théâtre Massalia, censé produire pour le jeune public, ainsi que pour la Biennale, de programmer cet Othello qui ne se destine ni aux enfants, ni aux adolescents, et ne relève pas d'une écriture du réel...
Agnès Freschel
C'est une belle ouverture sur des territoires tout proches et même un peu plus lointains que nous a offert la Biennale des écritures du réel.
Marie-Jo Dho
Le projet Frontières mené par Karine Fourcy est singulier : depuis deux ans, une vingtaine de jeunes gens, à l'orée de l'âge adulte, écrivent et jouent à nommer les barrières qui les enferment.
Agnès Freschel
C'est à partir de son expérience au collège Henri Wallon de Marseille - notamment en tant qu'animatrice théâtre - que Maude Buinoud a écrit son spectacle Jusqu'ici tout va bien.
Laurence Perez
Ce pourrait être une toute petite chose dans le parcours de Guillaume Vincent, jeune et remarqué auteur et metteur en scène français. Une pièce courte pour une seule interprète, placée au centre d'une scène totalement dépouillée. A l'issue des 55 minutes que dure la représentation, on sort pourtant avec le sentiment d'avoir assisté à quelque chose de simple, mais de grand.
Laurence Perez