La vie courante

dire le monde, sa ville, sa vie


mars 2016

JARDIN5 Vie courante © Narimane Mari

La vie courante © Narimane Mari

Narimane Mari filme dans plusieurs villes du monde les espaces urbains et ceux qui les mettent en scène, les flâneurs, les travailleurs, les usagers mouvants qui rythment et font le récit des villes. Elle a choisi de filmer ces instants de vie sans enregistrer la bande son directe pour permettre à d’autres de la créer et faire de ces images un espace dans lequel chacun peut composer sa propre mélodie urbaine, dire le monde, sa ville, sa vie.

La vie courante a été amorcée à l’occasion d’Hors Pistes 2015 au Centre Pompidou à Paris où ont été montrées les premières images et les premières créations sonores composées de par le monde par des professionnels, des artistes ou des amateurs.
Narimane poursuit ce projet sans limite de temps et d’espaces à filmer et de sons à récolter et à produire.

Sa rencontre avec le Théâtre la Cité a ouvert dans ce projet, de nouveaux espaces d’expressions qui viennent se mêler au flux de la Vie courante.
Des ateliers de créations ont eu lieu avec des patients et des membres de ADDICTION MEDITERRANNEE, un centre de soins, d’accompagnement et de prévention en addictologie et avec LA MAISON de Gardanne, un centre de soins palliatifs où le respect, la tendresse et la solidarité sont les maîtres mots, un travail commun a été réalisé pour faire surgir et s’exprimer d’autres visions et d’autres vies au travers de nouvelles bandes sons.
Tous, patients, soignants et bénévoles, racontent le monde en musique, en poésies, en mots intimes ou empruntés.

La Vie courante Marseille est une installation  coproduite par le Théâtre La Cité, Centrale Electrique et Addiction Méditerranée avec le soutien de la Région PACA, de l’ACSE, de la Ville de Marseille, dans le cadre des Contrats Urbains de Cohésion Sociale.

Bande annonce La vie courante

La vie courante – Marseille est une installation  coproduite par le Théâtre La Cité, Centrale Electrique et Addiction Méditerranée

L’installation a été présentée à La Friche la Belle de Mai et dans les boutiques du boulevard de la Libération à Marseille en mars 2016 dans le cadre de la Biennale des écritures du réel #3, puis en juillet 2016.

Vidéo

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