Enfin la fin

de Peter Turrini


2001

« Le compte marque l’évolution dramaturgique du récit, le processus même de la recherche du personnage. L’homme qui s’adresse à nous, et qui dans le même temps se parle à lui-même, s’est lancé dans un contre la montre pour tenter de retrouver un peu de son être volé. Et s’il va jusqu’au bout, vers cette inévitable dernière seconde, c’est parce qu’il est entré dans une course libératrice qui l’entraîne dans ses propres souvenirs, ses propres émotions, celles qu’il avait enfermées au plus profond de lui-même, sacrifiant sa vie au bénéfice d’une carrière professionnelle.
Le personnage de la pièce de Peter Turini n’est pas triste. Il se libère pour la première fois. C’est le récit d’une évasion. En choisissant un acteur capable de faire rire dans la gravité, en chorégraphiant tous les mouvements avec précision, en travaillant dans l’esprit d’un Buster Keaton, c’est à l’univers de la trgi-comédie que s’apparente ce spectacle.»
Michel André

Jeu Pierre Henri • Mise en scène Michel André • Scénographie Chantal Gaiddon • Chorégraphie Maguelone Ensuque • Coproduction Théâtre du Merlan, scène nationale à Marseille et Maison de la culture d’Amiens.

A 1000, je me tue…

le 10/02/2001
La Marseillaise

Michel André crée 'Enfin la fin' de Peter Turrini. Le monologue, éprouvant, d'une introspection sans complaisance.

Letizia Dannery

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Enfin la fin

Date Lieu
du 13 au 14 fevrier 2001 Maison de la Culture d\'Amiens
du 3 au 10 février 2001 Théâtre du Merlan, Marseille

Ce spectacle a été créé en coproduction avec le Théâtre du Merlan, scène nationale à Marseille et la Maison de la culture d’Amiens.

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