© Marina Raurell
Après la catastrophe du Heysel (Dans la foule), la guerre d’Algérie (Des hommes), Laurent Mauvignier explore avec Ce que j’appelle oubli une tragédie survenue à Lyon en 2009 : la sauvage mise à mort d’un voleur de bière par quatre vigiles, dans l’arrière-boutique d’un supermarché. Ce nouveau roman est composé d’une seule phrase de soixante pages, expectorée comme un dernier souffle, où la panique le dispute à l’espoir.
« J’ai très présent à l’esprit la conscience que ce texte est un dialogue avec un interlocuteur qui ne répond pas, bien plutôt qu’un monologue. »
▸Olivier Coyette
Conception et interprétation Olivier Coyette
D’après un texte éponyme de Laurent Mauvignier (2011)
Oeil extérieur Olivier Werner
Collaborateur artistique, chargé de diffusion Olivier Blan
Co-production Compagnie Forage et Compagnie Toujours Grande et Belle